20 août 2009

Page 89 : J'ai fait le kong a Hong-Kong et j'ai pris l'eau a Macao...


Hong-Kong, c'est la ville du troisième millénaire, en effervescence constante, vouée au dieu dollar (mais le HKD vaut un peu moins de 10 centimes d'euro), malgré la crise mondiale, c'est business, business... Dans 6 mois, mes photos du front de mer seront obsolètes, de nouveaux gratte-ciels seront sortis des eaux...

Il a fallu inventer une nouvelle facon de se déplacer à pied, le "fly over", qui consiste pour le piéton à ne jamais avoir à croiser les voitures, on survole les rues d'une passerelle à l'autre, d'une galerie marchande à une autre devrai-je dire...
Associé à ceci, un système de déplacement en transport en commun aussi efficace qu'il est bon marché, surtout si l'on utilise la carte Octopus, rechargeable à volonté, qui sert à payer absolument tous types de transport en commun (bus, metro, tram, funiculaire, ferry boat, train de banlieue...), mais aussi à acheter sa bouteille d'eau ou sa canette de bière ou ce que vous voulez dans des petites épiceries (genre "7 a Huit" ou "Petit Casino"), je n'ai jamais eu besoin de faire de la monnaie !


Bon, au coeur de la ville on attrape vite un torticolis tellement on marche la tête en l'air et vite chaud parce que le thermomètre dépasse allègrement les 33 degrés, une chaleur moite que n'arrivent pas à estomper les multiples étapes climatisées... Mais j'ai su résister aux sirènes du shopping !

Macao, c'est une toute autre ambiance, la ville garde de nombreuses traces de son passé colonial portugais, étroitement imbriquées dans la ville chinoise. Depuis le centre historique, pour rejoindre mon hotel Rua da Felicidade (rue de la joie), je devais remonter la Rua dos Culos (ben oui, la rue des culs !)...
C'était l'ancien quartier chaud de la ville ! Mais, sorti de l'abri des arcades du centre, je n'ai pas pu éviter une sacrée rincée tropicale, qui laissera des traces à l'intérieur de mon objectif photo, un appareil pourtant"tout temps" mais apparemment pas conçu pour résister à la mousson...

Maintenant ce serait plutôt l'enfer du jeu qui caractériserait aussi Macao, mais là aussi, je n'y ai pas laissé ma chemise (j'ai déjà donné en son temps à Las Vegas...), et puis tout cet univers des casinos, même si c'est bien fait, ça fait toc, un chouette décor pour anesthésier le gogo... Au fait, la monnaie ici, c'est le Patacas, pas de quoi en faire un pataquès !





J'ai préféré parcourir quelque peu les coulisses du Grand Prix de Macao, qui a lieu tous les ans en novembre (voitures et motos) sur un circuit aussi technique que celui de Monaco, la largeur en moins (gag !)...

Question bouffe, n'ayez crainte, je me suis gavé de fruits de mer, de bouchées-vapeur, de volaille rôtie et autres bols de riz ou de nouilles... avec quelques bières...

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